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Syllabes.

27 juillet 2014

Chronique N°6, Retour, enfin.

Mon retour, enfin.

Je crois que j'ai beaucoup de choses à vous dire, à me dire aussi. Je ne parlerais de pas grand chose ici, juste de moi. J'ai rencontré de nouvelles personnes, mais vous en dirait plus, plus tard, dans les chroniques à venir.

Ah d'ailleurs, je viens de lire un livre plus que génial, il me faut du temps pour digérer. Il se nomme « Blog », ce sera ma prochaine critique je pense.

 

Aujourd'hui, c'est une explication que je publie.Je n'écrivais plus, pour pas mal de raisons. Déjà, je n'avais plus envie. Je suis arrivée à un moment ou mes sentiments étaient peu différents, plats, sans réelle attache je dirais. Je n'avais rien de fou, mis à part mon bac, et je me suis réfugiée dans une bulle, sous une armure. J'étais ni triste ni heureuse, et c'était bizarre. Tout ce que j'écrivais était plat, superficiel. Mon blog l'était aussi, je le pensais. En réalité, il me dégoûtait. Je me fondis dans la masse de ces pseudos écrivaines, et ne lisais plus rien, me sentais une ado stupide, je sais pas trop. Puis les vacances sont arrivées et mes amies sont parties, me laissant dans l'ennui. Malgré dix jours de colonie géniaux, qui m'ont redonné une envie soudaine d'écrire des slams, plus d'envie d’articles, de blogs, de me livrer.

Et un jour lire m'a manqué, alors j'ai pris de nouveaux livres, et la passion est revenue. Ma fiction me fait enfin envie après 4mois de doute et d'effroi en voyant mes chapitres entamé, mon histoire pas finie.

 

Cet article touche presque à sa fin, je voulais juste annoncer mon retour. Le virtuel m'avait manqué, dessus je me sens à ma place. Pas importante, mais à ma place.

 

Dans la vie, je ris beaucoup, mais ma plus grande inquiétude est d'être seule, pas aimée.

 

Fin bon, ces mots ne veulent rien dire. Et je ne comprends pas mes mots non plus, ce qui compte, c'est que je sois revenue, et surtout que mon envie de me livrer aussi.

 

Syllabes m'avait manqué. Très fort.

Je reviens vite, vite, vite.

 

 

-Délurée

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1 juillet 2014

Chronique N°5, Explications, Rêves et Vacances.

Bonjour à vous ! Il est minuit, et enfin je vous poste une nouvelle chronique.

 

J'avais fait une pause, pour cause de révisions intensives, pour mon oral de français. Oral qui s'est passé sans encombre. En effet, je suis arrivée avec la rage de vaincre, et convaincue de chacune de mes phrases. Je ne dirais pas que c'était super, mais c'est passé, on verra les notes.

 

Aujourd'hui, j'ai réecouté une chanson sublime : Hall of fame. Et après avoir fait un sondage chez toutes mes amies, je suis arrivée à la conclusion que seul mon rêve paraissait impossible. N'ayant aucun talent, dans... Aucun domaie, en réalité. Mon rêve d'être célèbre paraît inutile, mais surtout superficiel. Ne le voyait pas comme ça, mais comme si, une fois célèbre, j'aiderais des millions de personnes. C'est une version que je préfère.

 

Enfin, les vacances pour moi ! A vrai dire, mon planning ne change pas. Musique, télé, manger, voir des amis, télé, musique, ordi. Rajoutez une dos de portable, et voilà un résumé assez complet de mes journées. Bientôt, je pars en colonie, et enfait l'idée m'intéresse, j'en ai envie. Mais rester dans mon monde me convient aussi... Je ne peux plus passer une journée sans parler des One Direction, parler à mes amies fans elles aussi. Dix jours sans elles sera un vrai manque.Mais aussi un vrai bol d'air. Pour cause de tout et rien, enfin...  Presque. Le moral n'est pas au plus haut, et sur une échelle de 1 à 10, le 1 n'est pas atteint. Une crise d'angoisse, tant redoutée, est arrivée, et m'a laissée épuisée, triste, et sans explications. C'est donc un bilan mitigé, agrémenté de stress, et de disputes que ces semaines.

 

Je reviens samedi pour la critique.

Je vous aime.

 

-Délurée

19 juin 2014

Chronique N°4, Bac, projets, larmes et espoir.

Bonjour à toutes et à toutes ! Je ne fais ma chronique qu'aujourd'hui, pour cause de BAC, et de ses épreuves anticipées, qui m'accapare quelque peu.

Aujourd'hui, plusieurs choses. Faisons une liste, c'est beaucoup plus simple :

- le Where We Are Tour. Les One Direction sont à Paris demain, pour deux concerts exceptionnels, au quels je n'irais pas. C'est assez dur, après trois ans de bas comme de hauts, de se dire qu'une fois encore vous ne pouvez voir vos idoles. L'espoir et l'attente ne fait que me détruire. Jamais ils ne passeront chez moi, jamais je ne pourrais dire à Niall Horan ce que je ressens.

 

- le BAC. J'ai passé, au jour d'aujourd'hui, le français. Demain matin, c'est les sciences, et le 30, l'oral de Français. J'ai choisi le récit d'invention, de manière logique, vu que j'adore écrire. On verra les notes, de toute façon, je vous tiens au courant.

 

- le sketch. Et oui, je suis heureuse de vous dire que j'ai écrit mon premier sketch, voulant devenir humoriste... Si je le filme, certains seraient intéressés par cette vidéo ? Dites moi tout.

 

Vous l'aurez compris, c'est une semaine vraiment peu agréable. Mon sketch est écris, et j'en suis heureuse. Mais quelqu'un l'aimera t-il ? Pourrais je réaliser mon objectif ? A samedi, pour quelque chose de plus long, et plus écrit !

 

-Délurée

 

14 juin 2014

Critique N°4 ? Pas pour cette fois !

Aujourd'hui, je voulais vous écrire un texte. Oui, comme ça. Il est 23h30, et j'ai en gros, dix minutes pour vous l'écrire.

Je mettrais deux chansons, Best of me & The Reason, liens plus bas. Voilà, l'inspiration, en 10 minutes. L'inspiration, en deux chansons et un clavier.

Je suis désolée. Désolée d'aujourd'hui, ne pas être comme tu crois que je suis. Comme cette enfant parfaite, à qui la vie sourit, qui charme, plaît. Je ne suis pas ça. Je suis désolée. Je ne peux pas sourire tout le temps, je ne peux plus faire semblant. Aujourd'hui, c'est les larmes ruinant mon mascara que je t'écris ces mots. Je voudrais repartir du début, ou tout se passait bien. Revenir quelques années plus tard. Et t'éviter de rencontrer le boulet que je suis, sur ton chemin. Je suis désolée. Je pourrais partir de ta vie, mais je me suis attachée à tes durs mots, aux sourires qui ne m'étaient pas destinés. Je suis désolée, de maintenant en avoir marre. Cet été, je voudrais profiter. Crier au monde ma haine, crier que je te déteste comme jamais je n'aurais pu le faire. Plus l'eau coule sur mes joues, plus un sourire apparaît. Chanter mon dégout pour toi me rend vivante. Enfin, je reconnais que je ne pouvais changer pour te faire plaisir. Et mes mots s'entassent et se diffèrent, et surtout se contredisent. Je fais des plans que je ne tiendrais pas. Bien sur que je n'arrive pas à t'en vouloir. J'essaye de m'en convaincre, j'essaye de me persuader que tu n'as été qu'une véritable erreur, mais plus j'y pense plus je n'y crois pas. Avec tes mots, que je sais maintenant faux, tu m'as fait sourire, et même rire. J'ai vécu des dures épreuves, et jamais tu n'as été là, mais je le croyais. Et ce si fort, que tu hantais mes pensées. Je suis désolée, pour la suite. Je ne me comprends plus, tu sais. Mais je crois que la seule chose que je vois très claire, c'est ce que je ressens pour toi. Si tu pars, je coule. Si tu me lâches, c'est comme si tu me brûlais vive. Mon texte se contredit, je passe d'un je te hais à un je t'aime, mais c'est la vie, non ? D'éphémères sentiments, pour une personne qui reste gravée. Ma vie est floue, et vague, comme ma lettre. Tu ne m'en veux pas, dis ? Je suis désolée. Désolée de ne pas être parfaite, ni jolie, ni même d'avoir un joli rire, ou un bon caractère. Je suis une loque sur pieds, une simple humaine au sourire figé, qui chante, chante son âme dans son jardin, les pieds dans des baskets et les jambes nues dans sa robe fleurie, puis s'effondre en sanglots. Alors, et ce pour la dernière fois. Je suis désolée, désolée de t'aimer autant que les enfants aiment la vie.

 

Voilà, The Reason vient de finir ! Je ne relirai pas ce texte, mais j'espère qu'il vous plaira tout de même. Si ce principe de texte vous plait, je pourrais vous en faire un par semaine, avec des chansons que VOUS aurez choisies ?

 

Merci à vous de l'avoir lu, et je vous l'assure, ce texte fut écrit en dix minutes.

Les chansons : https://www.youtube.com/watch?v=cGs8vtjDxxY

https://www.youtube.com/watch?v=RiFh_aHHpa4

 

-Délurée

11 juin 2014

Chronique N°3, Déja du retard, le début des vacances, et la fin.

Bonjour ! Déja, je m'excuse.

Hier était, et fut très chargé, avec mes livres de cours à retrouver, et des choses à faire, simplement. Voilà donc, avec un peu de retard, les nouvelles de ma vie.

Alors. Avec l'un de mes textes, j'avais participé à un concours d'écriture. Rien d'officiel, mais recevoir un avis, même juste un "Oui" ou "Non" m'importait beaucoup. Je n'ai pas été prise dans ce jeu, mais séléctionnée. Une personne s'était donc "retournée" sur mon texte, et malgrè l'immense déception, et la peine de se sentir toujours vraiment nulle et sans talent, c'est une petite joie de savoir qu'une des jurés avait dit oui à mon texte.

Ensuite. Je suis enfin en vacances, ce qui veut dire plus de temps pour vous écrire, mais aussi pour de nombreux projets, dont je vous parlerais très bientôt.

Puis. J'ai beaucoup réfléchi à certaines amitiés que j'ai, et malheureusement, force est de constater que même ce sentiment peut ne pas être réciproque.

Enfin, je joue demain dans mon spectacle de théâtre. Beaucoup de pression, car mes amis viennent me voir jouer. Ce soir c'est un peu ma chance de leur montrer que ouais, j'ai du talent, et qu'un jour moi aussi, dans mon domaine, je pourrais surpasser, ce qui n'est pas le cas. Je vous en dirai des nouvelles, et surtout ce que j'ai pensé de l'avis de mes amis. Ce sera je l'espère, plus intéressant que ces "résumés de semaine".

 

Cette chronique n'est pas longue, mais ma vie pas passionnante non plus. C'est donc ici que je vous écris la fin, un verre d'eau à la main, et la lune brillante dans le dos.

 

En espérant que ces chroniques ne vous sont pas inutiles ou frivoles, ce que j'ai l'impression.

Avec tout mon amour.

 

-Délurée

 

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7 juin 2014

Critique N°3, Une série.

Bonjour à toutes et à tous, en ce chaud week-end !

Aujourd'hui, je viens vous parler de moi, ou plutôt de ma série préférée. GLEE !

J'ai eu un coup de coeur dessus. Des personnages attachants, des intrigues peu compliquées mais bien ficelées, une vraie école de la vie, que dire de plus ?

Ici, chaque personnage est unique et différent, vous vous retrouverez forcément plus en un. Le gay, son copain, le couple ambigu, l'ambitieuse, la future Mariah Carey, le batteur un peu perdu mais si mignon, le rasta bon chanteur, l'asiatique un brin jalouse, l'handicapé à belle voix, le blond à grande bouche... Tant de caractères qui au final, sont tous attachants. Dedans, on parle de racisme, d'acceptation de soi, d'homophobie, de couple, de grossesses. Toutes ces questions tabous qu'on évite de poser à papa ou maman au dîner.

De plus, sont ajoutés des chansons, des reprises d'illustres artistes. C'est comme un appel à rêver, à se laisser emporter par la musique, leurs voix. La violence ne résout rien, ici c'est la musique qui s'en charge, remplaçant le poids des mots.

Un point négatif. Je me suis tellement attaché à un des acteurs, que lors de sa mort j'en ai pleuré des heures. Il état une partie de moi, en fait. J'ai découvert mon adolescence avec Glee, et je le placerais dans point négatif, la perte est trop douloureuse.

 

Ma phrase préférée, "N'arretez jamais d'y croire." Tous les personnages, comme chacun de nous, partent de leurs rêves, y croient, pour trouver le bonheur. Suivez ce conseil, ne baissez jamais les bras.

Cette critique est maintenant terminée, un peu courte, j'en conviens, mais je l'espère intéressante... J'adore vraiment cette série, et espère vous avoir fait découvrir un peu plus mes goûts.

A mardi !

 

-Délurée

3 juin 2014

Chronique N°2, Souriez, encore un peu plus fort.

Pour cette seconde chronique, c'est un appel au bonheur que je voudrais faire passer.

Parce qu'après tout, on a tous nos moments de colère, de doute ou pessimisme. Mais la vie est un cadeau si merveilleux.
Alors, pour vous faire sourire, voici un très court best-of des meilleurs moments de ma semaine. Souriez à leur lecture, puis pensez aux vôtres. Tout ira mieux, c'est une promesse.

Numéro 1 - Parfois, de simples messages font sourire. J'ai reçu un message tout mignon, de ceux qui disent "Je t'adore". Ces tout simples qui revigore. Je les lis et les relis à chaque perte de mon sourire, à chaque larme coulant sur mes joues. Ces écrits courts et émotionnels sont plus beaux que des pages entières.

Numéro 2, un peu plus concret peut-être - J'ai écrit un texte il y a peu, un texte ou j'ai mis tout mon coeur, un texte dont j'avais peur. Je me demandais s'il allait plaire, je l'ai soumis à des jugements, et tous ont été positifs... J'ai eu les larmes aux yeux, ils m'ont dit que j'avais du talent. Du talent. Ce que j'ai toujours voulu... Mensonge ou pas, c'est une prise de confiance, qui, certes minime, fait plaisir.

Numéro 3 - Elle. Une amie que je n'ai pas vu depuis longtemps, à réalisé son rêve. Son idole l'a remarquée. J'en ai pleuré pour elle, de joie. Je l'ai accompagnée, dans toutes ces émotions, perte d'espoir comme attentes un peu hautes, et en une soirée elle a pu, même sans lui parler directement, remercier son sauveur. Quoi de plus enrichissant, que son entrain au téléphone, son sourire sur les photos ? Peu de choses... J'aime à croire que moi aussi, un jour je dirais Merci à mes idoles.

 

Numéro 4, et dernier - Son sourire. Je ne le vois pas souvent, ce jeune homme, et rien que de lui dire bonjour, c'était un rayon de soleil. Je le cite lui, mais je pourrais citer tous les autres qui me sourient et me tendent la main jour après jour. Eux, font mon bonheur.

 

 

Cette chronique est vraiment pourrie, je ferais mieux, c'est promis !

En cadeau, voici le texte ayant reçu de positifs avis. Sans modifications, le brut, l'original si j'ose dire.

"Il s’était engouffré, en entendant ces paroles a l’entrée du balcon. Perdue dans ses pensées, elle ne l’avait pas vu. Il l’avait entendu. Vu la lame. Sanglante, de sang séché. Il courut vers elle, prit le bout de fer tranchant, la jeta. Elle le fixa, les larmes aux yeux,la pluie coulait sur leurs corps et que la lune les éclairait vaguement. Et, ils s’embrassèrent. Longtemps. Pire qu’une envie. Un besoin. Parce qu’elle a besoin de lui, parce qu’il a besoin d’elle. Parce qu’elle est psychologiquement détruite. Parce qu’il en a… Juste besoin. Parce que l'autre ne peut vivre sans l'un, et l'un sans l'autre. Et dans l’obscurité, le froid, et l’eau qui bat sur leur corps, ils s’embrassent à perdre haleine. Leurs mains se touchent, ils s’enlacent. Les larmes défilent sur ses joues. Comme sur les siennes. Ils ne sont plus deux êtres perdus dans ce monde trop petit pour leurs espérances. Ils ne sont qu'un, qu'un seul et unique, infiniment fort, qui passe au dessus du ciel et atteint les étoiles de l'espoir. Ce n'est pas de l'amour, de l'amitié ou de la pitié, c'est un besoin, essentiel. Certains respirent, d'autres pleurent et peu sourient. Eux s'embrassent, et les effrois s'envolent en poussière, prête à se disperser sur d'autres corps. Ils deviennent eux, ces inconnus que plus rien n'arrête. Ces indéfinis, ces deux sur huit milliards d'homme, qui s'embrassent à en oublier la mort, la tristesse, ou l'avenir. Ces indéfinis pour nous, qui ont pris le contrôle de leur propre histoire."

 

-Deluree

31 mai 2014

Critique N°2, Une chanson...

Bonjour à vous, en ce samedi qui fut bien ensoleillé ! 

Depuis maintenant deux semaines, j'ai "re"découvert une chanson, qui est devenue ma préféré. Elle est plutôt triste, mais elle m'a plu, et c'est mon indispensable à écouter lors d'environ chacun de mes trajets. Son nom ? Wherever you will go, de The Calling.

Le nom du groupe vous dit quelque chose ? c'est probable. 

Voici le lien, je vous conseille de l'écouter, en même temps que la suite de mon avis...

 

https://www.youtube.com/watch?v=iAP9AF6DCu4

 

Vous savez, chacun interprète les chansons selon son état. Je l'ai trouvée mignonne et très triste, et même en en lisant la traduction, ce qui d'habitude me fait changer d'avis. Je l'ai vraiment ressentie comme je le pensais, faisant de ma vie un clip. J'imagine bien la scène.

(Mode scénariste activé.)

Elle, dans un coin, à écrire. Lui, dans une autre pièce. Occupé à lui manquer. Elle part. Prend sa valise, puis doucement s'avance vers l'aéroport qui définit son nouvel avenir. Lui qui arrive. Courant. Qui la loupe. Elle qui rentre dans cet avion qui les séparent. Il chante, donc. Pour lui, c'est fini, il l'aime tant...

On le voit ensuite chanter sur une grande scène, les temps ont changé. Il est toujours aussi amoureux, et cherche d'un oeil distrait le visage aimé parmi la foule, visage tant cherché et jamais trouvé. Mais,à la dernière seconde, alors qu'il avoue ses sentiments au monde pour cette jeune femme, il la voit, tout devant, à lui sourire... L'histoire d'amour peut recommencer...

Je m'envole peut-être bien loin dans mes réflexions, mais c'est ce qu'elle m'inspire. J'ai vraiment aimé cette chanson, je l'ai écouté n'importe ou mais n'importe quand. Le soir, j'affectione d'écouter des chansons tristes, pour me détendre, et surtout réfléchir à mes journées, mes projets, tout, sans avoir envie de danser partout.

Si je devais conclure sur cette chanson... Un gros coup de coeur. Imaginez vous.

Seule, sur un banc, il brume à moitié... Vous êtes triste, vos vous levez quand la pluie tombe doucement. Et voilà que des mains se posent sur votre taille et vous enlace. Un demi-tour, et vous voilà dans ses bras, avec une belle chanson, ce serait... Un des bisous les plus romantiques du monde !

 

Inutile de vous dire que je suis en ce moment en train de l'écouter. Hier, je l'ai écouté 9 fois de suite. Mais étonnement... Elle ne me lasse pas. A chaque écoute, un scénario différent. A chaque écoute, un sentiment différent. C'est comme un bonbon qui pique. Un jour vous aimez, l'autre vous détestez, vous en pleurez, en souriez, ou en redemandez.

 

Merci d'avoir lu jusqu'au bout, en espérant vous avoir fait découvrir ma chanson préférée du moment... Je l'aime tellement, c'est fou. Elle me fait penser à tant de choses.

 

Vous l'aimez ? Quelle est votre chanson, à vous ?

 

 

-Délurée

27 mai 2014

Chronique N°1, Une semaine en quelques lignes.

    Je ne savais ni quoi dire, ni quoi écrire. Alors, pour cette première petite chronique voici un résumé de ma semaine. Le temps fut variable, et mes sentiments aussi. Partagée entre rêves et réalités, entre amour et haine, entre rires et larmes, une semaine décrite en quelques lignes, depuis mardi dernier…

 

Mardi. Une journée très simple et banale, jonchée d’heures de cours, avec comme fond des rires. Journée pleine de bonne humeur, de détente, de vie tout simplement. Vous savez, ces moments ou la présence des autres font de votre monde une terre rose et moelleuse. Ces moments ou l'amitié est plus forte que tout, ou l'on voit "la vie en rose", comme dirait une certaine Mlle Piaf.

 

Mercredi. Basculons du coté obscur de la force… Une musique change des fois toutes tes impressions. Tu as déjà vécu, cette sensation de ne pas être bien, ni triste ? De ne pas savoir expliquer ce qui ne va pas, en en étant pourtant convaincu ? Ce fut mon impression. Comme un brouillard perpétuel et fin sur mon âme. Cela n’attire pas les larmes, non, mais ne part pas avant plusieurs heures… Seulement, les sourires affichés n’alertent pas. Je demande un câlin, un "je suis là", et on me donne un rire tonitruant. Suis-je une bonne comédienne ?

 

Jeudi. Ma fierté, ma victoire. J’apprends, en ce jour, avoir été publiée dans les Inrockuptibles, dans le cadre d’un concours. Je n’ai jamais cru en un quelconque talent d’écriture, et ce fut un pilier de marbre sur un rêve, tenu auparavant par de simples poussières d’espoir. Mais qui dit bonheur dit tristesse, car le bonheur ne peut rester total. Ce sont ces poussées de joie, d’espoir, qui crée le sentiment d’être heureux. Si notre vie était si belle, nous la trouverions triste. Ce sont ces sautes furtives qui créent des sourires.

Ce jeudi, je fêtais aussi un posthume anniversaire. Une pensée à cet homme que je considérais comme mon deuxième père.

 

Vendredi. Cette journée se fera sans descriptif. Une journée en deux phases, comme les démaquillants, pour les connaisseuses. Il y a des jours avec, des jours sans, ce fut un jour sans avec.

 

Samedi. Renouveau, et mauvais temps. Je me mets à ce blog, m’y attelle, en rédige la première critique. C’est une fierté que d’enfin commencer un réel projet, et non plus un skyblog pour enfant, ou une simple page facebook.

 

Dimanche, et lundi. Tout le monde connaît cette joie du dimanche matin au fond du lit, cet effroi des devoirs bâclés voir pas faits le soir, et ce dégoût du lundi matin. Pas vrai ?  Pour moi, il n’y aura eu que la joie. Ayant un emploi du temps très allégé, et donc seulement trois heures de cours, j’ai erré dans ma ville comme une demoiselle en quête d’aventures ou du prince charmant. Un beau moment, avec beaucoup de verdure, deux papillons, une araignée absolument affreuse (Bonjour, je suis arachnophobe, et vous ?) et des écouteurs diffusant du The Calling dans les oreilles. La vie, la vraie ! Jaloux ? Alors retenez que je n'ai eu qu'une heure de cours, en ce mardi matin...

 

Mardi, aujourd’hui. Un grand plaisir de vous écrire cet article ! Je n’ai jamais pensé bien écrire, mais partager est une chose dans mes compétences.

 

J’espère que ce post vous aura plu. Mardi prochain, ce ne sera pas ma semaine, mais une « focalisation » sur une personne, avec exemples. Comme une minuscule analyse psychologique, avec mon interprétation, et surtout sans tabous d’expression. Enfin, j'y réfléchis encore ! Cela vous intéresserait ?

 

Merci d’avoir lu jusqu’au bout…

 

Et vous, qu’avez-vous fait de votre semaine ?

 

 

-Délurée

24 mai 2014

Critique N°1, Un livre !

Aujourd'hui, en ce 24 mai,

Je viens vous parler du dernier livre que j'ai adoré, vous le connaissez sûrement, c'est un best-seller ! Nos étoiles contraires.

Je l'ai lu en deux heures, sans m'arrêter. On est happés dans ce bouquin, on s'identifie forcément à un des deux personnages, on les aime, on s'y attache. Je pense qu'aucun de vous ne sera déçu par cette lecture, qui est aussi philosophique que divertissante. J'ai vraiment, vraiment, vraiment aimé ce livre, j'en tremblais quand je voyais les pages se réduire à une petite dizaine...

Ce livre est d'une profondeur incroyable, une rencontre amoureuse entre deux jeunes atteints d'un cancer dont ils savent qu'ils n'y survivront pas. Ils en pleurent, oui, mais il faut bien vivre, non ?

Si vous ne l'avez pas lu, foncez en magasin, ou en bibliothèque (mais ça m'étonnerait que vous le trouviez) l'acheter. Il est si bien écrit ! L'auteur, John Green, nous fait passer des larmes au rire, en quelques secondes. Du bonheur à la tristesse la plus totale. De la vie, à la mort. Entre les deux ? Hazel, et Augustus.

Un résumé, sans trop en dire ?

Les deux personnages principaux rencontrent des protagonistes bien différents, entre un alcoolique qu'Hazel vénérait pour son livre, qui n'est plus bon à rien, un ami atteint de cécité, qui a perdu sa copine, et leurs parents, ils se retrouvent confrontés à de nombreuses situations qu'ils surpassent par leur philosophie de vie. Mais la mort de l'un, de celui auquel on ne sy attendait pas, du fort et courageux, laisse l'autre dans un inconnu. Le futur n'est plus, l'autre ne vivait que pour l'un, et l'un pour l'autre...

Voilà quelques citations et passages, que j'ai vraiment trouvés sublimes, drôles, et beaux, simplement.

"Je voudrais vous dire, a poursuivi Isaac, qu’Augustus Waters était tellement bavard qu’il vous aurait volontiers coupé la parole à ses propres obsèques."

"-Balançoire seule, un brin pédophilique, recherche derrières d'enfants, ai-dit.
Il a ri.
-Voilà pourquoi.
-Quoi ?
- Voilà pourquoi tu me plais. Est-ce que tu te rend compte à quel point c'est rare de tomber sur une fille canon capable d'inventer un adjectif avec "pédophile" ? Tu es trop occupée à être toi-même, tu ne réalises pas que tu es exceptionnelle."

" Tu m'as offert une éternité dans un un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse. "

 

Voilà, c'était mon avis de Nos étoiles contraires ! En final, vous l'aurez compris, j'ai adoré ce livre. Une fois fini, vous vous sentez... Heureux. Oui, il était triste. Mais vous, vous vivez. Vous êtes en vie, et il faut en profiter. Je ne dirais pas YOLO, mais presque. On sort de ce livre, et on se dit qu'il reste tant de choses à voir, il ne faut pas perdre son temps, car chaque jour nous rapproche de la fin.

Alors je me suis dis que j'allais arrêter Internet pour me consacrer sur le réel, le concret, la nature...

Inutile de vous dire que je n'ai absolument pas réussi !

 

A mardi, merci d'être venu lire ce commentaire sur Nos Étoiles Contraires.

 

-Délurée

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  • Une chronique de vie chaque mardi, et une critique chaque samedi. Sur tout et rien, sur une vie parmi tant d'autres. Une dose d'écriture, pour faire rire, sourire, ou bien pleurer, une dose de quotidien pour sortir du votre.
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